Si des études précédentes ont qualifié le resvératrol présent dans le vin rouge d'élixir de jeunesse, une nouvelle recherche californienne montre un de ses modes d'action fondamental, encore jamais observé.

La Tunisie et la Libye ont signé mardi quatre accords pour la prise en charge médicale de libyens dans des établissements publics en Tunisie.

Le premier accord concerne le transport et des prestations sanitaires payantes pour des malades libyens dans des établissements hospitaliers publics tunisiens.

Une convention de coopération a été aussi signée entre les ministères de santé Libyen et Tunisien pour la prise en charge de Libyens dans des hôpitaux publics autorisés à faire des prélèvements et des transplantations d’organes et de tissus humains.

Ces prestations seront assurées en coordination avec le Centre National de promotion de la transplantation d’organes et le Centre National de Greffe de la moelle Osseuse.

La partie Libyenne, représentée par son ambassade à Tunis, prendra en charge les frais de transfert des malades et des donneurs d’organes ainsi que les frais de séjour et des soins dans les différents hôpitaux autorisés à accomplir ce type d’intervention.

La cérémonie, à laquelle a assisté notamment l’ambassadeur de Libye à Tunis Mohamed Abdallah Maaloul, a aussi été marquée par la signature de deux autres accords. Le premier concerne un partenariat entre le Centre de Traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous et la partie libyenne. Le deuxième porte sur la prise en charge des frais des services sanitaires (rééducation et la réadaptation fonctionnelle) à la station de thalassothérapie de Jebel Oust.

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