Le directeur des opérations, Rico Valentin, a expliqué samedi dernier : "L'incendie continue de s'étendre".

Il a ajouté que les vents ont aggravé la situation samedi matin dans la forêt.

La porte-parole de la ville a déclaré le même jour : "Nous ne nous attendons pas à une fin rapide de l'incendie".

Elle a ajouté que les pompiers ne peuvent pas accéder aux flammes dans la forêt en raison du danger posé par les munitions éparpillées dans le sol, car elles sont très instables.

Elle a également précisé qu'environ 45 hectares de la forêt ont été endommagés et que les villages environnants ne sont pas en danger.

Valentin a déclaré que les deux avions de lutte contre les incendies qui ont été utilisés pour larguer de l'eau sur la zone brûlée vendredi ont cessé de fonctionner samedi, soulignant que "les avions de lutte contre les incendies n'ont plus l'effet escompté et ne sont pas suffisamment importants".

Il a ajouté que les pompiers se dirigent maintenant vers la forêt avec dix autres camions de pompiers.

Valentin a souligné qu'il est nécessaire d'éteindre les flammes du côté de la route afin d'empêcher le feu d'atteindre la forêt suivante.

La zone de l'ancien terrain d'entraînement militaire où l'incendie s'est déclenché est très vaste.

Valentin a rappelé samedi : "Nous devons voir si les vents jouent avec nous", exprimant son espoir de calme et surtout de pluie.

Cependant, selon les prévisions météorologiques pour le week-end, il n'y a pas de pluie en perspective.

Le directeur des opérations a déclaré, faisant référence à la difficulté de l'opération : "C'est décourageant".