Même si l'idée aurait pu germer depuis les premières manifestations contre la mariage pour tous, le soutien-gorge masque à gaz n'est pas né ni en 2013 ni en France. C'est aux Etats-Unis qu'il a été conçu par une chercheuse d'origine ukrainienne traumatisée par les retombées radioactives de la catastrophe de Tchernobyl. "Président de l'Institut de recherche sur le management des risques traumatiques de Chicago, Elena Bodnar a souhaité un appareil très ergonomique permettant à toutes les femmes de se protéger facilement d'une attaque de type NBC (nucléaire, bactériologique ou chimique)", rapporte Direct Matin sur son site internet.

Mesdames, soyez rassurées, le soutien-gorge masque à gaz qui contient également un détecteur de radiations qui alerte la propriétaire du soutien-gorge à la première alerte aux radiations ionisantes ou aux rayons gamma, est tout à fait ergonomique. La fonction première de l'objet est conservé. L'E-bra pour Emergecy Bra (soutien-gorge d'urgence), nous explique les développeurs garde un "aspect le plus glamour possible et un confort maximal".

Messieurs vous n'êtes pas oubliés. Vous aussi vous pourrez vous protéger des éventuels gaz lacrymogènes. Le soutien-gorge de madame se divise en deux quand il est utilisé dans sa fonction masque à gaz.